Dans cette aventure, le grand perdant a été le tracé de jardin : tantôt il a perdu forme, noyé sous une surabondance de fleurs, tantôt il s’est vu surcharger des nouveaux apports indigestes.
(Russell PAGE, L’éducation d’un jardinier, 1962)
Planter un arbre est chose facile, bien le placer est moins évident. Il arrive régulièrement que l’arbre soit disposé selon un seul point de vue, généralement pour être vu de la maison. Pour cela on choisit un beau vide, bien dégagé pour que l’arbre puisse se développer.
Planter un arbre est chose facile, bien le placer est moins évident. Il arrive régulièrement que l’arbre soit disposé selon un seul point de vue, généralement pour être vu de la maison. Pour cela on choisit un beau vide, bien dégagé pour que l’arbre puisse se développer.
Le piège est là !
Il faut une vue vers le lointain, vers un point d’appel, vers un point focal … notre arbre peut être ce fameux point focal. Il ne faut pas oublier la vue inverse : comment est perçu le bâtiment du lointain. Dans l’exemple d’aujourd’hui, Le Cèdre est placé exactement dans un cône de vue et la vue sur le château est altérée...
Il est sympa ton blog, je n'imaginais pas toute cette technique et cet art derrière un parc ou un jardin.
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